HENRI FABRE, L’ESPRIT PIONNIER.
« Très jeune, j’ai pensé que se donner des ailes serait la plus belle découverte que l’homme pouvait faire.
Henri Fabre debout, à côté du moteur Gnome 50 chevaux-vapeur Omega 7
Très jeune, j’ai pensé que se donner des ailes serait la plus belle découverte que l’homme pouvait faire.
Puis, j’ai eu l’impression que : au point où en était la science, j’arrivais probablement à l’époque où cette découverte devenait possible. Enfin, j’en venais à me dire que j’avais peut‐être certains éléments de réussite si je m’attaquais à ce problème, et que, par conséquent, je devais le faire. Et alors ce fut une longue et immense joie de fouiller dans les connaissances humaines ce qui pouvait éclairer la question, d’observer dans la nature ce qu’elle pouvait nous enseigner, de m’efforcer modestement d’abord, puis avec des moyens accrus, de réaliser mon rêve.
D’autres m’ont devancé et ont trouvé la solution complète ; mais cela n’a pas diminué pour moi l’attrait de cet effort et la petite part de réussite que j’ai obtenu a suffi à me combler. »
Hommage à Henri Fabre. Extrait de son livre « J’ai vu naître l’aviation »
LE CANARD D’HENRI FABRE À MONACO LE 10 AVRIL 1911
1911 HENRI FABRE PRÉSENTE ET VA FAIRE VOLER LE CANARD À MONACO
HENRI FABRE PILOTANT SON HYDRO AÉROPLANE LE CANARD SUR L’ÉTANG DE BERRE